Leurs mise en place, au sein du CSE Atos avance toujours à une vitesse d’escargot.
Nous ne savons toujours pas comment sera considérée la composition familiale, quels sont les effectifs rattachés au CSE (salariés /conjoints / enfants) ni quels seront les taux de participation du CSE aux activités et le catalogue de celles qui seront proposées.

Un semblant de budget, estimé « à la louche »,  a été voté, cependant les règlements intérieurs des 4 (!) commissions ASC font toujours l’objet de débats houleux et stériles. Les activités passent du périmètre de l’une à l’autre au bon vouloir du triumvirat majoritaire qui tente de mener la barque du CSE, Rendant de fait caduc la répartition des sommes allouées et semant la zizanie entre les différentes commissions laborieusement mise en place. Au point d’en faire démissionner des membres, dont un président, tous deux appartenant au triumvirat..

Ambiance !

Une seule commission, reprenant temporairement l’existant d’un des ex CSE, tel que la CGT le demandait, aurait permis une continuité du service que le CSE doit rendre aux salariés.

Le choix de faire table rase de l’existant amène aujourd’hui à

l’absence d’ASC, plus de six mois après la constitution du CSE.

Mieux, ceux qui imposent leurs

décisions ne les assument pas et tentent, dans leurs communications, de faire porter le chapeau aux

organisations syndicales

minoritaires qui, bien que n’ayant pas voix au chapitre « bloqueraient » le fonctionnement !