L’ancien premier ministre d’E Macron, entré au Conseil d’Administration lorsque le groupe était florissant et que T. Breton venait d’être nommé, par la grâce du Président de la République, au poste de commissaire européen a choisi de suivre son Destin National et quitte Atos, laissant au leur (de destin) les plus de 5 000 salariés Français, tel un Napoléon lors de la bérézina abandonnant ses troupes en rase campagne en une période où, après avoir bénéficié de ses conseils et de son entregent, la société se trouve en grande difficultés.

Courage, fuyons …

« N’écoutant que son courage, qui ne lui disait rien, il se garda bien d’intervenir ». (Jules Renard)